Quelques mois après avoir fait bonne impression avec le CH-R Concept, Toyota arrive au Salon de Genève 2016 avec un C-HR définitif et qui fait tout aussi bonne impression. On ne sait toujours pas où il faut mettre le tiret dans son nom, mais cela importe peu car le véhicule semble réussi aux premiers coup d’œil.
Il faut dire que cette voiture est originale et dans ce segment, on avait pas vu ça depuis un certain Nissan Juke. Cela prouve que Toyota arrive presque un peu tard, mais que l’originalité apportée permet une belle démarcation par rapport à la concurrence.
Toyota est allé chercher quelques lignes esthétiques du côté de Lexus, sa marque de luxe, et ce n’est pas du tout déplaisant.
Certains caractéristiques lui donnent un aspect massif, comme par exemple ses feux hauts perchés, ses ailes gonflées ou encore sa calandre surélevées, alors que d’autres caractéristiques l’affinent comme son toit noir qui coupe assez rapidement et son allure de compacte. Il ne donne pas l’impression d’une Prius surgonflée, il a son caractère bien à lui.
Aussi long qu’une Peugeot 3008, ce Toyota C-HR a de quoi faire trembler la concurrence.
Autre avantage intéressant, sa motorisation. En effet, deux solutions seront proposées au lancement : le bloc 1,8l hybride de 122 chevaux de la Toyota Prius ou le bloc 1,2l turbo de 116 chevaux emprunté à la Prius. Une transmission intégrale est dans les cartons du côté de Toyota, alors qu’aucune version diesel n’est prévue pour le moment.
Toyota propose donc le premier crossover compact hybride du marché, avec un style tout aussi particulier que plaisant. Il va obligatoirement faire parler de lui avec de telles lignes.
Lancement prévu fin 2016.